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L’attentat déjoué du 08/09/2016 en France

Le 08/09/2016, des bonbonnes de gaz ont été trouvée dans une voiture à proximité de la cathédrale Notre-Dame de Paris. C’était un attentat déjoué car il n’y avait de dispositif de mise à feu et l’enquête antiterroriste a mené à l’arrestation de deux personnes. Pour cet attentat déjoué, la voiture utilisée par les malfaiteurs dont un homme et sa compagne, un couple originaire du Loiret appartenant à une mouvance islamiste radicale.

L’attentat déjoué de trois suspectes arrêtées à Boussy Saint-Antoine

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L’attentat déjoué à Paris en utilisant des bonbonnes à gaz était une tentative organisée par trois femmes présentées comme le premier commando de femmes djihadistes à Paris. D’après la police, les trois femmes suspectées à l’origine de cet attentat déjoué ont été téléguidées par des djihadistes situés dans les zones irako-syriennes. Ces suspectes ont été interpellés le soir du jeudi à Boussy Saint-Antoine, Essonne et sont présentées devant le juge antiterroriste le lundi d’après.
Cet attentat déjoué a été mené par Inès Madani, 19ans, Sarah H., 23ans, et Amel S, 39ans dont les deux plus jeunes avaient prévu de se procurer des ceintures explosives dont leurs cibles potentielles sont les gares et les policiers. La première femme est déjà suspectée d’être une complice lors d’un autre attentat avorté à une voiture piégée en étant en contact avec un djihadiste français appelé El Rachid Kassim, 29ans. L’autre femme plus âgée, mère de trois enfants, qui a menée cet attentat déjoué est un des chefs d’association malfaiteurs terroriste.

Comment la police a-t-elle déjoué l’attentat ?

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La police a pu remonter jusqu’au suspect de l’attentat déjoué lorsqu’il y avait le meurtre d’une femme le même jour dans le Val-de-Marne. L’ADN prélevé sur le véhicule de cette femme est celui de l’homme qui était sur la caméra de surveillance et qui avait l’intention de commettre un attentat contre des églises.